Le mal se fait sans effort, naturellement, par fatalité ; le bien est toujours le produit d’un art.
Le mal se fait sans effort, naturellement, par fatalité ; le bien est toujours le produit d’un art.
Marcher dans une forêt entre deux haies de fougères transfigurées par l’automne, c’est cela un triomphe. Que sont à côté suffrages et ovations ?
L’artiste qui abdique le privilège de la création délibérée pour favoriser et capter de divines surprises ne parvient qu’à produire de l’accidentel.